La braderie d’Angers prend ses quartiers en centre ville, le samedi 7 Juillet

La braderie c’est le 7 juillet à Angers

La braderie d’Angers, événement incontournable du début de l’été, s’installera en centre ville, le samedi 7 Juillet, de 9 h à 19h.

« C’est la fête annuelle des angevins » (Stéphane Pabritz)

Organisée conjointement par la Ville d’Angers, les Vitrines d’Angers et l’UDCM 49, l’édition 2018 de la braderie d’Angers est l’occasion de réunir une fois par an plusieurs dizaines de commerçants sédentaires et non-sédentaires, de plus en plus nombreux au fil des années. Dans les principales rues du centre-ville, entouré par un dispositif de sécurité important, ce sont près de 180 commerçants sédentaires, et une centaine de commerçants non-sédentaires qui exposeront leurs stands et leurs différents stocks. « Nous avons choisi de faire cela le deuxième samedi des soldes, pour qu’il y ait une sorte de deuxième relance des soldes » souligne Michel Dolay, représentant des commerçants non-sédentaires. « La braderie c’est la fête du commerce à Angers » souligne celui-ci, en ajoutant au passage que « les meilleures affaires se font surtout le matin ».

Stéphane Pabritz, adjoint au maire en charge de la propreté estime que « cette journée est toujours une belle journée de commerce », et pour cette édition 2018, les organisateurs de l’événement ont fait appel à un artiste angevin pour réaliser l’oeuvre, présente sur les affiches d’annonce de l’événement. « C’est important de révéler les talents de notre territoire » précise S.Pabritz. C’est Claude Coudert, artiste peintre de la région qui a imaginé cette fresque. Le fait de faire appel à un artiste n’est pas anodin, loin de là, « l’objectif était surtout de mêler l’esthétique et le commerce dans une oeuvre » estime Karine Engel, adjointe au commerce et représentante du commerce sédentaire.

Pour faciliter au mieux la venue des dizaines de milliers de visiteurs à la braderie d’Angers, la première heure sera gratuite dans tous les parkings du centre-ville, à l’exception de celui du Ralliement, qui restera fermé. Concernant l’affluence, difficile de ressortir un chiffre précis, « il n’y a qu’un seul compteur qui est rue Saint-Aubin, c’est difficile d’estimer le nombre de visiteurs » précise K.Engel.