Sport
26ème Masters national de badminton ce week-end à Angers.
Depuis hier, plus de 300 joueurs s’affrontent pour la 26e édition du Masters national de badminton organisé par le club la Vaillante Sports Angers Badminton.
Le club la Vaillante Sports Angers (VSA) Badminton a été créé il y a 27 ans. Un an plus tard avait lieu la première édition du tournoi. Les premières éditions ont accueilli de très bons joueurs, ce qui a permis d’acquérir une excellente réputation régionale et nationale. « De bons joueurs nationaux, dans le top français, participaient au tournoi. Ce qui a donc permis d’ouvrir un Masters » témoigne Eric Azar, président de la VSA Badminton de 2006 à 2013.
Pendant dix ans le tournoi était organisé dans la salle Jean Moulin avec sept terrains, avant de s’installer dans la salle du SUAPS d’Angers à Belle Beille. Quatorze terrains sont mis à disposition pour les matchs, ainsi que deux de plus pour les échauffements. Tous les niveaux sont présents, sauf non classé.
Des inscriptions de plus en plus nombreuses
Chaque année le nombre d’inscriptions au Masters ne cesse d’augmenter. Ce week-end la salle du SUAPS accueille environ 330 joueurs, avec plus de 500 matchs prévus. Une fierté pour la VSA Badminton et son nouveau président, Jérémy Levi. Originaire d’Avignon, il vit sur Angers depuis trois ans. Après deux ans en tant que joueur au VSA, cet étudiant paysagiste a pris la place de président du club. Avec dix ans de pratique à son actif, le Masters c’est aussi pour lui « l’occasion d’apprendre à se connaître. Le badminton c’est comme une grande famille ».
Trente bénévoles sont mobilisés pour ce tournoi sur le week-end. Baptiste Couet, bénévole et licencié à la VSA Badminton est fier de « donner un coup de pouce au club sur ses événements. Le Masters c’est un peu la vitrine du club, il y a beaucoup de participants et de spectateurs ».
« L’image d’un club se fait beaucoup par les événements qu’il organise » explique Jérémy Levi.
A la fin du tournoi, de nombreux lots et cadeaux seront distribués pour chaque tableau.
Elodie Pradel