Angers
Angers au cœur du handball grâce à Central’Hand.
La future centrale d’achat de la Fédération Française de Handball (FFHB) va s’installer, dès le mois d’août, au 2 Chemin du Passeur à Sainte-Gemmes-sur-Loire.
La Fédération Française de Handball a connue, ces dernières années, de plus en plus de demandes et un développement important grâce aux très bons résultats des Experts, permettant ainsi de dépasser (l’année dernière) le cap des 500 000 licenciés. Pour Denis Tourneux, Angevin d’origine, il était important de mettre ce projet en place, qui plus est, dans sa ville natale. C’est donc à Sainte-Gemmes-sur-Loire, dans un bâtiment accueillant de 150m2 et proche de la gare « on s’imaginait déjà dedans » que s’est installé Central’Hand. L’entreprise « unique, indépendante et autonome » veut toucher l’ensemble du marché du handball en France « travailler avec tous les clubs, les ligues, afin de promouvoir la pratique du handball et lui apporter une valeur ajoutée ».
Avant toute chose, il faudra « sonder le marché, l’analyser et s’y adapter » sans oublier d’être à l’écoute des clients afin de connaître leurs attentes et ainsi, « proposer une gamme plus large ». Cette société de distribution sera, comme le veut la Fédération, au service des structures afin de les aider, mais pas que « nous misons beaucoup sur l’accueil et le conseille de nos clients par rapport à leurs attentes ». Pour Denis Tourneux, l’offre et le service feront la différence et leur force sera de « connaître le milieu du handball ». Ainsi, le chef d’entreprise veut s’entourer de pratiquants (au niveau régional ou national) ou d’anciens pratiquants pour qui le handball est « bien plus qu’une passion », mais aussi de personnes ayant des compétences commerciales afin d’« aller à la rencontre des clients pour savoir quels types de services et d’articles ils demandent, voir nos manque… Si il y a une demande spécifique en grand nombre, nous la mettrons directement dans le catalogue ». Et pour cause, Central’Hand sera uniquement une plateforme administrative avec un catalogue large – mis à jour tous les ans – qui vendra tous les produits officiels de handball « il y aura une multitude de produits liés à la pratique du handball ». Toutefois, il n’y aura (au début) pas toutes les marques « il faut respecter les contrats en cours qui appartiennent à la FFHB ». Ainsi, vous ne trouverez (par exemple) que des ballons Hummel ou des maillots Adidas. Par ailleurs, il sera primordial de collaborer « avec les fournisseurs (Adidas, Hummel, Kempa, Select…) de proximité afin de garantir une livraison rapide » mais aussi, une bonne image et une clientèle fidèle.
Outre le catalogue qui sera disponible dès fin août, d’autres outils de communication seront mis en place tel que la création d’un site internet « pour que les clients commandent directement en ligne ». Il y aura à disposition la ‘’boutique du supporter’’ qui permettra d’acheter divers articles de la panoplie du fidèle supporter « drapeaux, perruques, écharpe, maquillage, livres, DVD… ». L’entreprise offrira également des prestations de services tel que des t-shirt personnalisables où l’on pourra y floquer nom, logo ou autre numéro. Une fois la commande effectuée, elle sera disponible sur place ou envoyée directement au domicile. De plus, il y aura aussi des actions commerciales « pour aider les clubs et leurs structures » tout en restant dans les prix de marché « le but n’est pas de faire de l’ombre aux autres ».
Pour finir, Central’Hand sera présent, bien évidemment, sur la toile grâce à Facebook et Twitter, tout en restant en lien avec le site internet de la FFHB sur lequel « il y aura un lien direct vers notre boutique », mais aussi sur le papier par le biais des revues fédérales bimensuelles tel que HandMag. Par ailleurs, il ne faut pas oublier que, étant la société officielle de la FFHB, Central’Hand bénéficiera des visuels de l’Équipe de France et sera présente sur l’intégralité des matches des Bleus « nous mettrons de la publicité sur les panneaux lumineux lors des matches, la présence du terrain est importante ».
Par Thomas Gaté