Angers
Une étudiante angevine en finale régionale de « Ma thèse en 180 secondes »
Inspiré du concours « Three minutes thesis » qui a eu lieu en 2008 en Australie, « Ma thèse en 180 secondes » revient pour la seconde fois en France. Résumer un sujet de thèse en trois minutes seulement, tout en le rendant passionnant et compréhensible par tous, tel est le challenge que lancent à nouveau le CNRS et la Conférence des présidents d’université (CPU) aux doctorants. . Une étudiante angevine, Julie Meilland, doctorante au LPGN-BIAF est qualifiée pour la finale régionale.
« Ma thèse en 180 secondes » c’est quoi ?
Le concours « Ma thèse en 180 secondes » propose aux doctorants de présenter leur sujet de recherche, en français et avec des termes simples, à un public profane et diversifié. Chaque étudiant ou étudiante doit
ainsi effectuer, en trois minutes chrono, un exposé clair, concis et néanmoins convaincant sur son projet de recherche. Le tout avec l’appui d’une seule diapositive ! Une occasion unique pour eux de vulgariser le
contenu et les enjeux de leurs travaux auprès du grand public et d’acquérir des compétences en communication, bien au-delà du simple exercice de style. Pour relever le défi, les doctorants bénéficient d’une formation sur un ou plusieurs jours en fonction des écoles doctorales. Avec pour objectif de les aider à vulgariser leurs recherches et à capter rapidement l’attention d’un auditoire.
La finale régionale de Ma thèse en 180 secondes se déroulera au centre des congrès d’Angers le 7 avril 2015 à partir de 18h30.
En effet, après les sélections locales qui ont eu lieu à Angers, à Nantes et au Mans, le concours se poursuit avec la finale régionale qui est organisée cette année à Angers. Une première candidate de l’Université d’Angers est d’ores et déjà sélectionnée : il s’agit de Julie Meilland, doctorante au LPGN-BIAF. Elle a remporté les suffrages du public le 12 mars. Elle présentera sa thèse lors de la finale régionale « la biomasse des foraminifères et son effet sur la pompe biologique du carbone dans l’océan antarctique »