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Cuisine angevine : l’art des mets…

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Cuisine angevine : l’art des mets…

Parfois injustement oubliée au bénéfice d’autres gastronomies régionales, la cuisine angevine revient influencer les grandes toques ces dernières années. Plusieurs restaurants étoilés étincellent dans et autour de la cité des ducs d’Anjou, tandis que les mets et les saveurs de l’art culinaire angevin ne cessent d’être revisités pour titiller autant nos papilles que nos envies. 

La gastronomie à Angers

Ils sont 6 désormais. Six restaurants galonnés d’une étoile sur Angers et sa région proche. Et chacune de ces tables proposent une redécouverte excitante de la gastronomie angevine. Une redécouverte qui se fait sous le signe de la modernité et de la créativité. Comment résister ? Ces restaurants désormais au firmament du Michelin jouent de leur réputation grandissante pour offrir à la cuisine de notre région une nouvelle tribune et de nouveaux succès.

Comme on peut le découvrir dans une analyse de ShopAlike.fr à ce sujet, Angers et, plus largement, l’Anjou viennent (re)pointer le bout de leurs fourchettes parmi les plus grandes régions gastronomiques de France. Riche de ses différents terroirs et de ses spécialités historiques, la région angevine a effectivement de solides (et succulents) arguments pour venir taquiner les mieux distinguées. Voire inspirer les grands de France, de Navarre et d’ailleurs !

Les spécialités de la cuisine angevine

Le prince des gastronomes, le fameux Curnonsky, qui participa à la naissance du non moins fameux guide Michelin, disait en son temps de la gastronomie angevine qu’elle était « le paradis de la digestion paisible ». Et, le créateur de l’Académie du vin de France d’en décrire avec soin les merveilles et les spécificités : les poissons d’eau douce, le beurre, la si subtile pâtisserie locale qui magnifie les fruits du terroir… 

Ce plaidoyer de Curnonsky pour la cuisine d’Anger n’était pas seulement inspiré par sa naissance dans cette même ville. Et s’il vantait la finesse des « crémets d’Anjou », il suffit de mordre dans ce délicat assemblage de crème fouettée et de blanc d’œufs montés en neige pour se convaincre que le prince des gastronomes disait vrai.

Alors un repas du terroir angevin s’ouvrira bien sûr par des rillauds ou des œufs à l’angevine. Il pourra, entre autres hypothèses alléchantes, se poursuivre par un rôti de porc aux pruneaux, une rouelle de veau aux carottes ou une oie d’Anjou rôtie. Mais n’oublions pas la gogue angevine, boudin local et, pour promouvoir les produits du terroir, la délicieuse gouline, tourte où l’on retrouve nos rillauds magnifiés des champignons de Paris qui apprécient tant les caves de Saumur.

Mais un repas angevin sans aucun poission de la Loire serait-il encore digne de l’Anjou ? Il reste encore à choisir entre la succulente friture d’anguilles, l’alose à l’oseille ou le sandre au beurre blanc.

Et pour sublimer ces mets, il vous suffira de puiser votre nectar dans les 27 appellations de vins d’Anjou et de Saumur qui s’égrènent dans la région.

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