Angers
Angers :Relais pédestre entre la Normandie et le Maine et Loire
Les 6 et 7 juin prochains, un relais pédestre aura lieu entre plusieurs ville de Normandie, de Bretagne et de Mainte et Loire, au profit des blessés de l’armée de terre, avec l’organisme CABAT (Cellule d’Aide aux Blessés de l’Armée de Terre).
De Sainte-Mère-Eglise à Angers, c’est plus de 400km de course en relais, sur la voie de la liberté, qui seront parcourus par les coureurs lors de deux journées de soutiens et d’aide aux blessés de l’armée de terre. Le parcours débutera donc à Sainte-Mère-Eglise, en Normandie, où sera déposée un gerbe, en présence d’une Fanfare Traditionnelle, une délégation Britannique et de militaires du 6ème régiment du génie d’Angers. Ces derniers partirons à 9h15 pour le début du relais.
Les villes traversées en cette première journée de course, seront Carentan, Saint-Lô, Avranches, Pontorson, Dol de Bretagne et enfin Saint-Malo, étape finale de la journée. Tout au long de la journée, auront lieu des animations dans les villes traversées, notamment à Saint-Lô, avec la Fanfare de Tradition du 6ème régiment du génie, vers 11h45 lors de l’arrivée des coureurs, et à Saint-Malo, et une présentation du régiment, de ses matériels et de ses missions, de 14h à 19h, Place Bouvet, suivi d’un concert de musique traditionnelles de l’armée du Génie et de jazz.
Le lendemain, le 7 juin, les villes traversées seront Rennes, Châteaubriant, Candé, Beaucouzé, avec une arrivée au centre commercial de l’Atoll à Angers. Les animations autour du relais seront une prestation en mode évolution de la Fanfare de Tradition du régiment à Rennes à 11H, et une présentation, comme la veille, de 9h à 19H à l’Atoll, qui accueillera, à partir de 18h, un concert de jazz, et enfin, à 19h, un tirage de tombola au profit des blessés de l’armée de terre.
Cet événement s’inscrit dans un programme plus large encore, pour la commémoration des 70 ans du débarquement de Normandie, qui verra, du 3 au 10 juin, s’organiser des animations et commémorations tout le long des sites du débarquement.
Nicolas Maffre