Législatives 2017
Législatives 2017. Luc Belot, candidat dans la 1ère circonscription de Maine-et-Loire
Luc Belot est un candidat Parti Socialiste, il se présente dans la 1ère circonscription de Maine-et-Loire. Voici sa présentation.
1) Pouvez-vous vous présenter en quelques lignes, ainsi que votre binôme ?
Luc BELOT :
Je suis Angevin, j’ai 42 ans. Avant d’être député, j’ai exercé des fonctions de directeur d’association et de collaborateur d’élu. J’ai deux garçons qui sont au collège à Angers. Ils m’ont transmis le virus du hockey sur glace que je pratique en amateur le dimanche soir pour décompresser avant d’attaquer la semaine.
Je suis un homme de gauche, engagé dans la majorité présidentielle d’Emmanuel MACRON. En tant que député, j’ai travaillé depuis 2012 sur les questions d’éducation et du numérique. J’ai été rapporteur de la loi pour une République Numérique qui est la première législation au monde à consacrer la neutralité du Net. Ma fierté de député est toute simple : avoir fait le travail pour lequel on m’a fait confiance. Mes statistiques de présence dans les débats le prouvent.
André MARCHAND :
Je suis fils d’agriculteurs, maire de Briollay et conseiller départemental. Suppléant aux côtés de Luc BELOT, j’y ai mis la même énergie que dans mes mandats ou dans mon école lorsque j’étais instituteur
Je me suis impliqué totalement, en tenant des permanences ouvertes à tous et en travaillant sur les dossiers agricoles et l’environnement, notamment les Basses Vallées Angevines qui me tiennent tant à cœur. J’ai tenu un vrai rôle près de Luc BELOT.
2) Comment est né votre engagement en politique ?
Luc BELOT :
La conscience politique très tôt, grâce à mes parents qui m’ont toujours appris à ne pas me résigner face aux injustices. Je me rappelle en CM1 le sentiment violent qui m’avait alors animé lorsque certains de mes camarades refusaient de donner la main d’un Marocain qui venait d’arriver dans notre classe.
Après, l’engagement a d’abord été associatif pour moi car j’ai toujours aimé l’action, pouvoir faire des choses qui produisent des résultats. C’est ainsi que très tôt je me suis engagé au centre social associatif de Doué la Fontaine où j’ai vécu mon enfance et mon adolescence. Puis à l’Université, j’ai poursuivi d’abord au sein de l’AUDA où on a développé des services qui manquaient pour les étudiants (on a créé le premier prêt gratuit de vélos avant même Vélib !). Puis j’ai senti à un moment qu’il fallait aussi faire bouger les lignes de l’intérieur, c’est comme cela que je suis devenu vice président étudiant de l’Université.
L’engagement politique n’était pas forcément quelque chose qui me paraissait évident puis j’ai rencontré Michel ROCARD. Ça m’a convaincu qu’on pouvait entrer en politique et être utile si on s’attache à avoir des résultats. C’est l’aventure au PS qui a commencé pour moi, avec cette gauche qui préfère l’action à la parole.
3) Avez-vous déjà eu des fonctions politiques, et quelles sont-elles ?
J’ai été élu conseiller municipal à Angers en 2001 où je me suis occupé du quartier de la Doutre comme président du conseil de quartier.
En 2008 je suis devenu adjoint au maire en charge de l’éducation, j’ai doté les écoles en équipements numériques (des tablettes, des tableaux blancs interactifs…) et piloté une expérimentation sur les rythmes scolaires. J’étais également le président de l’EPARC où j’ai développé les circuits courts pour les cantines et le bio dans les assiettes des élèves. A l’agglomération, en tant que vice-président, j’ai piloté les constructions scolaires mais également la définition de la seconde ligne de tramway.
En 2012, je suis devenu député : j’ai immédiatement démissionné de mon mandat d’adjoint au maire.
4) Quel est votre programme ?
Je suis et je reste un homme de gauche, socialiste, ouvert et tolérant. Je souhaite la réussite du mandat d’Emmanuel Macron pour la France et les Français.
Je n’ai pas voulu adhérer à « En Marche » mais je me réclame néanmoins de la majorité présidentielle. Pourquoi ? Parce que ce mandat doit réussir pour ne plus jamais voir l’extrême droite réunir 10 millions de scrutins.
Oui, je participerai à la majorité présidentielle mais en étant libre de mes options.
Je soutiendrai avec énergie les projets de progrès : suppression de la taxe d’habitation, remboursement intégral des lunettes et des prothèses auditives ou dentaires, plan d’investissement de 5 milliards dans la santé, interdiction des perturbateurs endocriniens, rénovation d’1 million de logements.
Pour autant, en homme de gauche, je saurai aussi m’opposer aux mesures qui ne vont pas dans le bon sens et faire d’autres propositions constructives. Je n’accepterai pas la suppression sans contrepartie de l’ISF, ni la suppression sans analyse de 120 000 fonctionnaires, ni la non prise en compte de la pénibilité au travail.
Je ne serai ni un godillot, ni un béni oui-oui, ni un frondeur. C’est avec cette éthique que je me présente avec André Marchand pour poursuivre le travail au service du territoire et de ses habitants.
5) Pourquoi vous présentez-vous dans cette circonscription ?
C’est d’abord la circonscription où je vis : tous les candidats ne peuvent pas en dire autant !
Ensuite, c’est la circonscription où depuis 2012 j’ai travaillé avec toutes et tous. J’y suis implanté, j’ai la confiance de nombreux élus de tous bords, j’en connais les associations, les entreprises, les agriculteurs. C’est avec toutes ces personnes que je veux continuer de travailler.
6) Avez-vous des réunions publiques ?
J’ai tenu une grande réunion le 22 mai où tout le monde pouvait poser des questions. Avec André MARCHAND, nous tiendrons des permanences dans toutes les communes comme nous le faisons depuis 2012.
Le programme est consultable en ligne : http://www.belot2017.fr/?page_id=17
7) Avez-vous un site internet ou un moyen de contact pour le public ?
Nous avons un site www.belot2017.fr
Mais surtout nous aimons le contact direct :
– Par mail : belot2017@gmail.com
– Par téléphone : 0619635003
– Et faites nous signe lorsque vous voyez passer la député-mobile, vous ne pouvez pas la rater !